Les écrits du petit Van, un appel ?

Jeudi 28 novembre 2024

Les écrits du petit Van, un appel. En abordant les écrits du petit Van , nous sommes dans l’ordre des révélations privées. Elle n’ont pas la meme valeur que les paroles de l’Évangile. Nous pouvons être scandalisés par certaines expressions dans le lien du petit Van avec Jésus crucifié. Nous sommes choqués par le choix de la Croix de Jésus des saints. Parler de Jésus, dans son chemin du calvaire, est particulièrement indécent dans les situations douloureuses. Il nous faut être seulement présents, là. C’est bien souvent tout ce que nous pouvons faire. Comment demeurer debout dans des situations impossibles ?

Seule la Croix de Jésus et la Compassion de Marie sont lumière. Les révélations de Jésus au petit Van sont utiles. C’est par ses souffrances, dit l’apôtre, que nous sommes sauvés, engendrés à la vie divine. Marie dans sa maternité divine est associée à Jésus dans l’œuvre du salut du monde. Nous constatons que les pauvres et les petits participent à cette maternité divine de Marie en Eglise. Un dialogue bien utile, dans les confidences de Jésus à Van, donne sens à la vie des pauvres : « Mon petit apôtre, dit Jésus à Van, que cela ne t’attriste pas. Reconnais que ce qu’on pense de toi est exact et qu’il en est vraiment ainsi car en effet, vu que tu dois remplir la fonction de mère des âmes, il faut te retirer dans ta chambre pour écrire les paroles que leur adresse ton Bien-Aimé…Ne pleure pas. Ce qu’on pense de toi ne t’empêche nullement de m’aimer… Extérieurement, il me faut cacher la beauté de la fleur car si le monde en connaissait la beauté, quel éclat garderait-elle encore à mes yeux ?…Oui je dois pour le moment la tenir cachée ; Ce n’est que plus tard que je la montrerai au monde qui, la connaissant, la recherchera. Et ainsi elle attirera à moi un plus grand nombre d’âmes… » [179] Marthe Robin disait à propos des pauvres de l’Arche. « Ces petits Rédempteurs. » Il en est de même dans le message que Jésus transmet au petit Van.

« Tu dois remplir la fonction de Mère des âmes ». C’est dans une si grande petitesse et une extrême pauvreté que « l’ami » de Thérèse de Lisieux accomplit sa mission si semblable à celle des pauvres et des petits du monde. Notre civilisation a beaucoup de mal à envisager la Croix de Jésus Christ, elle est évacuée. L’épreuve du « délabrement » de la vie humaine, de sa souffrance, de son handicap, est une épreuve sans pareille. Quand Marie, à Lourdes, a demandé à Bernadette de se laver dans l’eau boueuse, de manger de l’herbe…beaucoup ont crié à la folie. Aujourd’hui ces paroles de Marie sont inscrites dans le marbre !

L’Apôtre Paul lui-même dira « qu’il ne veut plus voir que Jésus et Jésus crucifié ». Ne soyons pas étonnés de la lecture du message du petit Van, il donne sens à la souffrance , à la maladie, à la mort. Jésus est en agonie jusqu’à la fin du monde. Certes nous voulons soulager autant que nous le pouvons toute souffrance et toute maladie. Cependant quand nous sommes à bout de moyens humains, notre solidarité, notre « être avec » la souffrance, est le meilleur service que nous pouvons encore prodiguer à celui qui est dans la détresse. C’est alors la compassion de Marie à la Croix qui devient notre modèle. "Jésus s’est offert dans un Esprit éternel", nous croyons que cet Esprit Saint ne nous manquera jamais.

16. Les écrits du petit Van, un appel ?

En abordant les écrits du petit Van , nous sommes dans l’ordre des révélations privées. Elle n’ont pas la meme valeur que les paroles de l’Évangile. Nous pouvons être scandalisés par certaines expressions dans le lien du petit Van avec Jésus crucifié. Nous sommes choqués par le choix de la Croix de Jésus des saints. Parler de Jésus, dans son chemin du calvaire, est particulièrement indécent dans les situations douloureuses. Il nous faut être seulement présents, là. C’est bien souvent tout ce que nous pouvons faire. Comment demeurer debout dans des situations impossibles ? Seule la Croix de Jésus et la Compassion de Marie sont lumière. Les révélations de Jésus au petit Van sont utiles. C’est par ses souffrances, dit l’apôtre, que nous sommes sauvés, engendrés à la vie divine. Marie dans sa maternité divine est associée à Jésus dans l’œuvre du salut du monde. Nous constatons que les pauvres et les petits participent à cette maternité divine de Marie en Eglise. Un dialogue bien utile, dans les confidences de Jésus à Van, donne sens à la vie des pauvres : « Mon petit apôtre, dit Jésus à Van, que cela ne t’attriste pas. Reconnais que ce qu’on pense de toi est exact et qu’il en est vraiment ainsi car en effet, vu que tu dois remplir la fonction de mère des âmes, il faut te retirer dans ta chambre pour écrire les paroles que leur adresse ton Bien-Aimé…Ne pleure pas. Ce qu’on pense de toi ne t’empêche nullement de m’aimer… Extérieurement, il me faut cacher la beauté de la fleur car si le monde en connaissait la beauté, quel éclat garderait-elle encore à mes yeux ?…Oui je dois pour le moment la tenir cachée ; Ce n’est que plus tard que je la montrerai au monde qui, la connaissant, la recherchera. Et ainsi elle attirera à moi un plus grand nombre d’âmes… » [179] Marthe Robin disait à propos des pauvres de l’Arche. « Ces petits Rédempteurs. » Il en est de même dans le message que Jésus transmet au petit Van. « Tu dois remplir la fonction de Mère des âmes ». C’est dans une si grande petitesse et une extrême pauvreté que "l’ami" de Thérèse de Lisieux accomplit sa mission si semblable à celle des pauvres et des petits du monde. Notre civilisation a beaucoup de mal à envisager la Croix de Jésus Christ, elle est évacuée. L’épreuve du "délabrement" de la vie humaine, de sa souffrance, de son handicap, est une épreuve sans pareille. Quand Marie, à Lourdes, a demandé à Bernadette de se laver dans l’eau boueuse, de manger de l’herbe…beaucoup ont crié à la folie. Aujourd’hui ces paroles de Marie sont inscrites dans le marbre ! L’Apôtre Paul lui-même dira "qu’il ne veut plus voir que Jésus et Jésus crucifié". Ne soyons pas étonnés de la lecture du message du petit Van, il donne sens à la souffrance , à la maladie, à la mort. Jésus est en agonie jusqu’à la fin du monde. Certes nous voulons soulager autant que nous le pouvons toute souffrance et toute maladie. Cependant quand nous sommes à bout de moyens humains, notre solidarité, notre « être avec » la souffrance, est le meilleur service que nous pouvons encore prodiguer à celui qui est dans la détresse. C’est alors la compassion de Marie à la Croix qui devient notre modèle. "Jésus s’est offert dans un Esprit éternel", nous croyons que cet Esprit Saint ne nous manquera jamais.

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